Caméscopes contiennent 3 principaux composants : lentille, imageur et enregistreur. La lentille rassemble et focalise la lumière sur l'imageur. L'imageur (généralement un capteur CCD ou CMOS sur caméscopes modernes, souvent des exemples plus tôt utilisé tubes vidicon) convertit la lumière incidente en un signal électrique. Enfin, l'enregistreur convertit le signal électrique en vidéo et il encode en une forme stockable. Plus généralement, l'imageur et optique sont appelés la section de la caméra.
La lentille est le premier élément dans le chemin de lumière. Optique de la caméra ont généralement un ou plusieurs des ajustements suivants : ouverture ou iris pour régler l'exposition et contrôle la profondeur de champ, zoom pour contrôler la longueur focale et angle de vue, Obturateur vitesse pour régler l'exposition et à maintenir la représentation du mouvement désiré, gain pour amplifier l'intensité du signal en conditions de faible lumières, filtre de densité neutre pour régler l'exposition. Dans les unités de consommation, les ajustements ci-dessus sont souvent automatiquement contrôlés par électronique du caméscope, mais peuvent être ajustés manuellement si vous le souhaitez. Unités professionnelles offrent un contrôle utilisateur directe de toutes les grandes fonctions optiques.
L'imageur convertit la lumière en signal électrique. La lentille projette une image sur la surface de l'imageur, exposant le tableau photosensible à la lumière. L'exposition à la lumière est transformée en charge électrique. À la fin de l'exposition temporisée, l'imageur convertit la charge accumulée dans une tension analogique continue aux bornes de sortie de l'imageur. Après que analyse des est terminée, les photosites sont réinitialisées pour démarrer le processus d'exposition pour la prochaine image vidéo.
L'enregistreur est chargé d'élaborer le signal vidéo sur un support d'enregistrement (tels que les bandes magnétique vidéo.) La fonction enregistrement comporte des étapes de traitement des signaux, et historiquement, le processus d'enregistrement introduit une distorsion et du bruit dans la stockée vidéo, telles que la lecture du signal stockée ne peut pas conserver les mêmes caractéristiques que le flux vidéo en Monster iBeats direct. Tous les caméscopes plus primitifs que l'on puisse imaginer doivent aussi avoir un enregistreur de commander l'article monster beats earphones qui permet à l'utilisateur de contrôler le caméscope, basculer l'enregistreur en mode de lecture pour revoir les images enregistrées et une section de contrôle image qui contrôle l'exposition, la discussion et la balance des blancs.
En 1983, Sony a sorti le premier caméscope de consommateurs le Betamovie BMC-100 P. Il a utilisé une cassette Betamax et ne pouvait être tenu d'une main, donc il beats dr dre Solo a été généralement au repos sur une épaule. La même année, JVC a sorti le premier caméscope basé sur le format VHS-C. En 1985 Sony est venu avec son propre format de cassette vidéo compact, Video8. VHS-C et Video8 avaient tous deux des avantages et des inconvénients, et aucun n'a gagné la guerre des formats. En 1985, Panasonic et Hitachi RCA a commencé à produire des caméscopes enregistrement à cassette VHS taille complète, qui offre jusqu'à 3 heures de temps record. Ces caméscopes de Mont épaule trouvés un créneau avec videophiles, vidéastes industrielles et studios de télévision de collège. Super caméscopes VHS (S-VHS) pleine de taille ont été libérés en 1987 qui a dépassé la qualité de la journée et a fourni un moyen peu coûteux de recueillir des segments de nouvelles ou videographies. Sony cela correspondait avec la sortie de Hi8, une version améliorée du Video8.
En 1986, Sony introduit le premier format de vidéo numérique, D1. Vidéo a été enregistrée dans la forme non compressée dr dre monster beats et la largeur de bande requise énorme pour l'époque. En 1992, Ampex a utilisé un facteur de forme D1 pour créer DCT, le premier format vidéo numérique qui utilise la compression de données. La compression utilise l'algorithme de transformation de cosinus discret, qui est utilisé dans les formats de vidéo numériques commerciales plus modernes. En 1995, Sony, JVC, Panasonic et autres fabricants de caméra vidéo lancement DV, qui devient rapidement un de facto standard pour la production de vidéo à la maison, pour la fabrication de films indépendants et de journalisme citoyen. La même année, Ikegami introduit Editcam la première bande moins le système d'enregistrement vidéo. Panasonic a lancé, en 2000, DVCPRO HD, élargissant le codec DV à l'appui de la haute définition. Le format était destiné à l'utilisation de caméscopes professionnels et utilisé les cassettes DVCPRO de pleine grandeur. En 2003, Sony, JVC, Canon et Sharp introduit HDV, le premier format vidéo vraiment abordables de haute définition, qui utilise des cassettes de MiniDV bon marchés.
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